Japon : des ramen à volonté à vie pour redevance unique (800 euros)

Le ramen japonais est l’une des tendances gastronomiques du moment : un restaurant de la préfecture de Chiba a lancé une offre résolument savoureuse.

Les ramen font partie de la tradition culinaire du Soleil Levant. Chaque lieu les réinterprète d’une manière différente. Mais ceux qui sont passionnés par le Japon pensent surtout aux ramen, ces nouilles de blé généralement servies dans un bouillon de viande, de poisson ou de légumes.

Les ramen (ou ramens, comme on dit) sont arrivés au Japon en provenance de Chine, mais pendant des siècles, au Pays du Soleil Levant, ils ont été le « vrai plat » de tous les jours, un plat que chaque localité réinterprète de manière différente. Eh bien, si vous ne pouvez pas résister vous aussi aux ramen, vous trouverez peut-être cette offre lancée par une chaîne de ramen à Nishi Chiba, dans la préfecture de Chiba, très intéressante : à « Musashiya« , en effet, vous pouvez manger cette spécialité à volonté. Et pour le reste de votre vie. Pour profiter de cette offre, il suffit de payer une redevance unique de 100 000 yens, soit l’équivalent d’environ 830 euros.

Ramen à volonté : la clause

Pour certains, huit cent trente euros peuvent sembler beaucoup. Mais considérez que vous pouvez manger des ramen gratuitement quand vous le souhaitez, jusqu’à la fin de vos jours. Il n’y a pas d’astuce, pas de tromperie – pourrait-on dire. Toutefois, il existe une « clause » : la promotion est valable « uniquement pour les étudiants« , même si aucun âge ni aucune nationalité n’est spécifié. Selon le site japonais Sora News 24, un bol de ramen « standard » de Musashiya coûte 600 yens (environ 5 euros). Si vous faites le calcul, si vous mangez un bol de ramen par jour, tous les jours pendant environ six mois, vous dépassez largement le montant initial de 830 euros.

Pourquoi 100 000 yens ?

Le restaurant a choisi ce prix spécifique également parce qu’il s’agit du même montant que celui que le gouvernement japonais donne à chaque Japonais (quels que soient ses revenus ou son âge) pour l’urgence du coronavirus, une sorte de compensation pour les pertes économiques causées par la pandémie.

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